Vous trouverez sur cette page l’ensemble des événements :
expositions, rencontres avec les artisans et créateurs, événements culturels…
Gagnante du concours d’écriture :
Madame Magali Tharaud qui a choisi de rédiger un texte en vers exploitant la forme de l’acrostiche.
Ci-desssous les trois textes en tête du concours.
Félicitations !
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1 –
Ma tendre adulte à l’odeur de pastel et de vulnéraire
Amoureuse des roses trémières cassis et des fragiles cosmos rayonnants
Magique et apaisante rondeur de ta voix étoilée
Inépuisables douceurs des tissus légers de tes robes
Etonnant goût de nuage sucré de tes desserts fondants
Mme Tharaud
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2 –
Tout doucement dans la rosée de ma vie, ton souffle a murmuré les caresses du monde ; la douceur de tes mots, le parfum de tes chants dansaient sur mon berceau.
Tout doucement ton amour a fait glisser le temps sur mes jours ingénus. Dans tes yeux, miroirs de mes peurs passées, j’ai trouvé le courage de battre l’avenir.
Tout doucement dans le creux de ton cœur, j’ai caché mes tourments ; oublié l’orage des souvenirs.
Mme Pérez
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3 –
Marie, ta compréhension, ton indulgence te différenciaient de tes semblables.
Tu as su m’apprivoiser, moi, enfant pleine de colère, issue d’une famille nécessiteuse et tourmentée dans une cité H.L.M. de la banlieue parisienne des années 60.
Tu es allée à la rencontre de ma mère, femme opiniâtre et violente. Ta finesse d’esprit, ta ténacité ont eu raison de ses résistances. J’ai pu rentrer chez les scouts, participer gratuitement à tes séjours de vacances d’été, sans oublier les diverses ouvertures culturelles que tu savais si bien organiser.
Ces expériences m’ont fait prendre conscience que la vie n’était pas si “moche” et que je pouvais me libérer du carcan familial qui m’était imposé.
MERCI, soeur Marie, fille de la charité.
Mme Briclot
CONCOURS :
Une semaine encore pour préparer la fête des mères et… pourquoi pas, prendre la plume. Je vous propose un concours qui vous conduira à rédiger un très court texte (vers ou prose) à travers lequel vous évoquerez une femme qui a compté pendant votre enfance.
Évaluation : le jury (constitué de trois enseignants) sélectionnera un texte en fonction des trois critères suivants :
- respect des consignes,
- capacité à transmettre les sentiments que vous a inspirés cette personne,
- qualités littéraires.
Longueur : cinq lignes maximum (times new roman, taille 12).
Lots : le lauréat recevra :
- un chèque cadeau d’une valeur de 50 euros à utiliser dans l’un des magasins valentinois partenaires : décoration, livres… Lot offert par ASSADIA – accueil périscolaire et garde d’enfants – Place de la Pierre (https://valence.assadia.fr)
- un assortiment (verveine, agrumes…) de savons bio Kolibri (Valence) offerts par Caroline Deceglie. Beaucoup d’entre vous ont déjà découvert toute la gamme de ses savons marbrés et parfumés, en vente désormais au Kiosque Plénet. (https://www.savonnerie-kolibri.com)
- des cartes – fleurs séchées et encre de Chine – réalisées par Magali, qui est aussi la créatrice des structures végétales sous cloches exposées dans la boutique.
Date : les textes sont à déposer au Kiosque Plénet jusqu’au samedi 3 juin 17 h en deux exemplaires (l’un anonyme, l’autre avec vos nom, prénom, mail et numéro de téléphone).
Résultats : ils seront donnés sur les réseaux sociaux (@lekiosqueplenet) et sur le site de la boutique (lekiosqueplenet.fr), au plus tard le jeudi 8 juin.
Gagnant : le texte sélectionné sera publié sur le site de la boutique. Un seul gagnant mais toutes les productions seront proposées à la lecture au Kiosque Plénet (de façon anonyme). Vous pourrez venir les lire durant les quinze jours qui suivront les résultats. Ce concours sera peut-être aussi l’occasion d’offrir votre texte à la personne de votre choix ou de le faire lire à des proches…
Vendredi 7 avril, dans les rues du quartier historique de Valence, venez chercher les œufs cachés par les commerçants. Vous trouverez à l’intérieur un petit message comportant le nom d’une boutique : un gros oeuf en chocolat de fabrication artisanale vous y attend. Participation gratuite et sans obligation d’achat…
Saint-Valentin.
Le samedi 11 février, un crieur de rue déambule dans le quartier historique de Valence, le matin sur la place du marché, et l’après-midi dans la Grande Rue.
Il dit les mots d’amour que vous avez glissés dans les boîtes dédiées à cet événement.
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En libre consultation dans notre boutique, le classeur contenant tous les textes qui ont été rédigés pour le concours d’écriture lors du salon du livre.
- Vendredi 27 janvier : rencontre dédicace dans la boutique avec l’écrivain Jérôme Attal, auteur de Petit éloge du baiser.
- Organisation, dans le cadre du salon du livre et du livre audio, d’un concours d’écriture, en partenariat avec l’Association Fréquence Lire et la librairie Notre Temps. Bravo aux gagnants : Coralie, Elsa, Angéline, Fernand, André.
« Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ?
Un serment fait d’un peu plus près, une promesse
Plus précise, un aveu qui veut se confirmer,
Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer…» Cyrano de Bergerac, Edmond Rostand
Souvenir d’un baiser…
Baiser tendresse, baiser d’enfant, d’adolescent, baiser d’adieu, baiser passion, baiser serment, baiser bonjour, baiser du soir, baiser au vent, baiser d’antan, baiser tristesse, baiser papillon, baiser sucré…
Avec vos mots, offrez-nous l’évocation d’un baiser qui a laissé une trace dans votre vie. Cherchez-le dans votre mémoire, votre imaginaire, vos rêves, votre fantaisie.
Calendrier de Noël dans le centre ville de Valence. Chaque jour un commerce vous réserve une petite surprise : c’est le 13 décembre pour le Kiosque Plénet…
Le Kiosque Plénet vous souhaite de très belles fêtes de Noël
Rencontre
Tout savoir sur la fabrication des savons naturels
Merci à Caroline Deceglie, qui était présente au Kiosque Plénet le samedi 12 novembre. Elle nous a expliqué les secrets de la fabrication de ses savons naturels (ingrédients, étapes de création, méthode de saponification à froid, parfums…).
LUNDI 3 OCTOBRE
Moment précieux en ce mois d’octobre pour le Kiosque Plénet : visite à l’EHPAD Saint Antoine de Tournon-sur-Rhône pour la remise des prix aux gagnant(e)s du concours d’écriture, catégorie : atelier collectif.
Les résident(e)s avaient proposé un texte (voir événements de septembre) rédigé dans le cadre d’une activité mise en place par les animatrices, Corinne et Ludivine.
Diplômes et cadeaux, verre de l’amitié, lecture du texte par deux candidats. Une très belle rencontre que nous n’oublierons pas… Merci aux résidents(e)s et aux animatrices pour leur chaleureux accueil.
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LE MOIS DES CONCOURS…
CONCOURS DE VITRINES DANS LE CADRE DE VALENCE EN GASTRONOMIE FESTIVAL
- merci aux jurés qui ont attribué le premier prix à notre boutique ;
- merci à tous les visiteurs qui sont venus nous encourager ;
- merci à la ville de Valence pour l’organisation de cette fête magnifique.
CONCOURS D’ECRITURE DANS LE CADRE DE VALENCE EN GASTRONOMIE FESTIVAL
- résultats :
PREMIER PRIX, écriture collective : les résidents de l’EHPAD Saint Antoine de Tournon-sur-Rhône. Atelier d’écriture animé par Corinne Chevalier et Ludivine Bourgeois.
PREMIER PRIX, écriture individuelle : Jean-Claude Moulin
EX AEQUO EN SECONDE PLACE, écriture individuelle :
Blandine Stéfani, Joris Pascal et Aurélie Vigneron.
PREMIER PRIX écriture individuelle : Jean-Claude Moulin
Héraclès Navet
L’affaire du potage sanglant.
Héraclès Navet, l’extraordinaire détective luxembourgeois haut comme trois pommes s’ennuyait ferme. La soirée avait été longue. Il y avait bien un vieux western spaghettis à la télé où une belle brochette de gars assez peu récurés, rôtis au soleil, et qui n’étaient pourtant pas des poules mouillées, se prenaient des pruneaux dans le buffet en deux coups de cuillère à pot dès que ça tournait au vinaigre. Le mercredi soir, c’était vraiment une période de vaches maigres. Tout en regardant d’un œil distrait tomber les patibulaires comme des cailles toutes rôties dans l’assiette du héros, il feuilletait une revue d’art annonçant une vente aux enchères de vieilles croutes. Mais Navet n’était pas homme à se faire plumer par le premier merlan venu, et rouler dans la farine par le brocanteur local qui confondait presse purée et candélabre Louis XVI.
Il ne se doutait pas qu’il était à la veille de la plus mystérieuse affaire qu’il eût à traiter.
Le lendemain il fut tiré d’un sommeil agité entre flingueurs patentés et impressionnistes de Levallois, par l’inspecteur Aboie qui visiblement l’était. « Quelle nouille ! » : pensa Navet. Ce pauvre Aboie, toujours à pédaler dans la choucroute, la rate au court bouillon, commençait immanquablement une enquête en marchant sur des œufs de peur de froisser les susceptibilités locales.
Le premier commis de Sidonie Toc, l’extraordinaire cheffe de cuisine, venait d’être retrouvé sans vie, égorgé dans le velouté de potimarrons. « Pour lui les carottes sont cuites ! » pensa Navet amusé. L’hémoglobine de l’éplucheur de compétition avait dû gâter la subtilité du nectar. Le deuxième commis, pleurant comme un veau, avait alerté les autorités. Navet mit fin à la bouillie verbale que lui servait Aboie : « j’arrive ! Nous avons du pain sur la planche, mais on ne va pas en faire un fromage ! »
Héraclès était toujours d’un calme olympien même si les ennuis arrivaient serrés comme des anchois, alors qu’Aboie était très soupe au lait et ne manquait pas de bouillir à la moindre contrariété, prêt à filer des tartes à la première ébauche de suspect. Ce qui l’irritait particulièrement c’était de se faire griller par le capitaine Ouaterloup, commandant de la brigade de gendarmerie.
Il est certain que l’enquête allait faire grand bruit.
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PREMIER PRIX, écriture collective : les résidents de l’EHPAD Saint Antoine de Tournon-sur-Rhône, dans le cadre d’un atelier d’écriture animé par Corinne Chevalier et Ludivine Bourgeois
C’est pas de la tarte !!!!
Ce jour-là, Yvan avait la banane. Il en avait fait tout un fromage auprès de ses amis, mais il en a pris plein la poire. Il n’avait pas inventé le fil à couper le beurre, et sans raconter de salades, il expliqua sa rencontre avec Irène à ses amis, assis en rang d’oignons.
Yvan, qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, était loin d’être un cœur d’artichaut.
Irène, quant à elle, pédalait dans la semoule, elle pleurait comme une madeleine dans sa solitude. Il faut dire qu’elle était souvent prise pour une bonne poire.
Elle était issue d’une famille fauchée comme les blés, haute comme trois pommes, à la chevelure poil de carottes et, cerise sur le gâteau, était fermée comme une huître. Certains d’ailleurs pensaient qu’elle faisait la fine bouche…
Au café du coin, Yvan, entre deux vins, fut surpris de rougir comme une tomate en croisant le regard de braise d’Irène. Devant ces yeux de merlans frits, Irène s’exclama sans y aller avec le dos de la cuillère: « Lâche-moi la grappe » en pensant encore tomber sur un panier percé. Lorsqu’elle vit qu’il n’avait pas d’oursins dans les poches, elle décida d’appuyer sur le champignon.
Yvan, bien qu’ayant peur de se prendre un marron, se dit que l’on ne faisait pas d’omelette sans casser des œufs, et voilà comment neuf mois plus tard, ils pendirent la crémaillère avec un petit Olivier, né dans un chou.
Et ils vécurent heureux comme des poissons dans l’eau !!!
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SECOND PRIX ex aequo, écriture individuelle :
Blandine Stéfani, Joris Pascal, Aurélie Vigneron
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Blandine Stéfani
Cerise sur le gâteau
Bon, on va pas en faire tout un plat ni tout un fromage mais on pourrait pédaler dans la choucroute si l’on tente d’expliquer toutes ces goinfres d’expressions qui alimentent la langue de Molière .
Pas plus haute que trois pommes, j’étais déjà casse-bonbons et mettais la rate au court-bouillon à tous ceux de mon entourage qui ne pouvaient répondre à mes questions métagastronomiques.
Encore aujourd’hui, mon questionnement persiste à propos du détournement bien cuisiné de tous ces mets succulents montés en expressions idiomatiques.
Car enfin, c’est sans doute bête comme chou mais, lorsque j’entends certains outrages qui tombent comme un cheveu sur la soupe, je dois mettre beaucoup d’eau dans mon vin pour ne pas coller une châtaigne à celui qui prétend que je suis une quiche !
Moi ? une quiche ? « Tarte salée à base d’œufs battus dans la crème ».
Passe pour la véritable crème que je suis, mais tout de même, me comparer à une quiche ? Qui l’eût cru l’eusses toute crue ?
Comme je n’ai pas du sang de navet, je bouillonne et lance à l’effronté:
« Et toi, tu t’es vu , tranche de cake ! »
Alors, muet comme une carpe, le type va pisser son vinaigre outre-Manche.
Cependant, je dois avouer que la moutarde me monte vraiment au nez lorsqu’on me roule dans la farine !
Ainsi la petite discrimination contre le féculent fuse :
« T’aurais pas un pois chiche à la place du cerveau ? »
Je pourrais répondre alors:
« Purée, toi, tu ne connais pas l’arme fatale et discrète de ce pois, véritable pain béni de nos intestins, qui est chiche de se répandre soudain dans nos ascenseurs retenant bien serrés comme des sardines les idiotismes de notre langue .
Ainsi, une fois que vous avez claqué le beignet à vos adversaires, vous savourez votre victoire même si, au fond, leurs yeux de merlan frit vous mettent le cœur grenadine.
Alors , ne soyez plus à ramasser à la petite cuillère, ne pleurez plus comme une madeleine, ne soyez plus dans la panade , n’en ayez plus gros sur la patate et lorsqu’on vous dit que vous sucrez les fraises, soyez bonne poire et lâchez ! Gargantua serait fier de vous.
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Joris Pascal
Portrait d’un gourmand
Pour qu’un gourmand ait la banane, rien de mieux qu’un bon repas. Avant même d’être servi, il en a déjà l’eau à la bouche ; il se sent comme un coq en pâte. Lorsqu’on le lui apporte, tout se met à compter pour du beurre : un glouton n’y va pas avec le dos de la cuillère. Il a, en effet, un bon coup de fourchette. La nourriture et lui sont comme pain et beurre. Il ne va en faire qu’une bouchée : croyez-moi, un goulu en a de la bouteille pour se garnir la panse. Malheur à celui qui lui sert un mauvais met ; le gourmand fait la fine bouche : pour lui c’est fort de café, il va en faire tout un flan. Un simple plat trop salé et la moutarde lui monte au nez, il aime que ce qu’on lui sert soit fait aux petits oignons et il veille au grain.
Lorsque vient le moment de payer, il redoute que l’addition soit salée. A force de dépenser beaucoup d’oseille pour manger de bons plats -la crème de la crème- il va finir fauché comme les blés. Mais le glouton ne va pas en faire tout un fromage : le plaisir de manger le comble, tant qu’il n’a pas fini la dernière bouchée tout baigne dans l’huile !
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Aurélie Vigneron
Trois Pains coquins…
Se dirent un jour, qu’une cuite ça ferait du bien.
Trois Brioches les suivirent, voulant se dorer et rire.
La chaleur monte, les émotions s’échauffent,
Pour que trois ans plus tard, mais quel hasard,
Mais qui l’eût cru ?! Des Suisses courent les rues !
De boulangeries en pâtisseries,
Trois petits gourmands, piquent les chouquettes des clients,
Leurs parents, Pains et Brioches ont perdu de leur gonfleur,
Que d’énergie dans ces enfants transpirant à toute heure,
Et laissant pour seule trace, la fleur d’oranger comme odeur..
CONCOURS
Un peu de temps libre pendant vos vacances (ou au travail) ? Ce message est pour vous.
Comme vous le savez sans doute, la nouvelle édition de Valence en Gastronomie Festival aura lieu les 9, 10 et 11 septembre… Le Kiosque Plénet ne pouvait manquer d’y mettre son grain de sel…
De quoi s’agit-il ? C’est l’écriture qui sera à l’honneur. Et voici les règles du jeu :
– raconter une histoire (celle-ci peut présenter une péripétie qui vous est arrivée, ou relater une aventure totalement fictive). Comique, tragique, pathétique, fantastique… choisissez la tonalité et le thème qui vous tentent. Longueur du récit : entre dix et vingt lignes (traitement de texte / police : Times new roman / taille : 14) ;
– utiliser dans ce texte un maximum d’expressions en lien avec la cuisine (facile, la France n’est-elle pas LE pays de la gastronomie ? Celle-ci a nécessairement contaminé notre langue.) Si vous êtes en panne d’inspiration, vous trouverez facilement sur internet des listes d’expressions métaphoriques en lien avec la cuisine ;
– déposer le texte au Kiosque Plénet au plus tard le samedi 3 septembre à 18 heures, ou l’envoyer par mail si vous n’habitez pas Valence (contact@lekiosqueplenet.fr).
Pour participer et connaître les résultats, n’hésitez pas à suivre le Kiosque grâce à la newsletter (inscription en boutique ou sur ce site : lekiosqueplenet.fr), ou par instagram/facebook : @lekiosqueplenet).
À qui s’adresse ce concours ?
À vous… que vous soyez visiteur(euse), client(e) de la boutique… ou pas, créateur(trice), artisan(e)… ou pas, cuisinier(ère) confirmé(e) ou débutant(e)… ou pas, amoureux(se) de la littérature… ou pas, adulte ou adolescent… Pour résumer, vous l’aurez compris, tout le monde peut participer ; l’essentiel étant de s’amuser et de prendre du plaisir.
Un jury désignera le meilleur récit ; le texte sera affiché dans le magasin et en divers endroits de la ville, lors du week-end Valence en Gastronomie Festival ; il sera posté sur le site de la boutique. Des cadeaux-surprises (dont certains articles de la collection « Mon cœur Valence ») récompenseront l’auteur-trice du texte sélectionné.
Pensez à proposer ce concours aux personnes qui pourraient être intéressées dans votre entourage.
N’hésitez pas à me contacter par mail ou téléphone si vous avez besoin de précisions concernant ce concours.
Bien cordialement
Chantal Plénet
Le Kiosque Plénet
36 Grande Rue
26000 VALENCE
lekiosqueplenet.fr
contact@lekiosqueplenet
06 21 76 20 94
Les nocturnes de juillet.
Les mardis 5 et 12 juillet, ouverture du Kiosque pour accompagner le marché des créateurs, installé sur la place des Clercs.
Vous les avez demandés, ils sont arrivés. Vous pouvez désormais offrir des chèques cadeaux à vos proches.
Bravo à Philippine Luza et Suzanne Boisseranc, gagnantes du concours proposé durant la braderie des 10 et 11 juin !
Installation d’une boîte à livres au Kiosque Plénet. Vous pouvez apporter des ouvrages que vous avez lus, et en prendre en retour. Accès libre.
Des réalisations d’Isabelle Marlier sont exposées au Kiosque Plénet. La mosaïste était notre invitée le samedi 7 mai. De 14h. à 18h. elle a travaillé dans la boutique, et nous a fait partager sa passion pour les émaux vénitiens.
« Ma démarche créatrice »
Je suis mosaïste d’Art, mon atelier est un lieu unique et magique, en pleine nature, conçu selon des principes bioclimatiques, il se situe sur la commune de Saint Basile. C’est mon lieu de création et d’exposition où je reçois ma clientèle et plus largement le public qui souhaite découvrir mon univers.
De conception abstraite ou figurative et selon la tradition des techniques antiques, romaine et byzantine, je “mosaïque” des tableaux, miroirs, murs et sols. Inspirée par la nature et le cosmos, je suis en quête de sérénité, de lumière, de paix. C’est lorsque je manipule les matériaux pour concevoir une mosaïque que je m’approche de l’énergie créatrice. Ainsi chaque œuvre est unique, par sa conception, par la taille et l’assemblage de matériaux nobles : marbre, smalt, ardoise, pâte de verre, émaux de Briare, faïence ancienne et par le jeu de contrastes entre lumière, opacité, brillance, couleurs et textures. De la combinaison de couleurs profondes et denses qui circulent, se répondent, s’accordent et se complètent, s’éveillent les émotions et le bien être.
C’est à l’atelier des 3 territoires de Montreuil, auprès de Laurence Colombo, maitre mosaïste, que j’ai acquis les bases relatives aux techniques, il y a une vingtaine d’années. Afin d’améliorer ma technique et la mettre au service de mon inspiration créatrice, j’ai continué d’apprendre auprès de maîtres mosaïstes : en France, à la Maison Contemporaine de la Mosaïque de Paray le Monial avec notamment Verdiano Marzi, Joël Barguil et en Italie à l’école de mosaïque de Spilimbergo dans le Friül avec Valeria Menzo.
Éducatrice et enseignante de formation initiale, j’anime des stages et cours auprès d’enfants et d’adultes, dans mon atelier, en milieu scolaire, dans le cadre d’associations et d’évènements municipaux. J’ai mis en oeuvre une initiation auprès des médiatrices du musée de Valence visant à développer des ateliers pédagogiques. Je fais partie des artisans d’art de la boutique collective à Vernoux en Vivarais « La Horde des créateurs » où j’expose mes créations et je participe aux permanences. Du fait de mon adhésion à « l’Agence pour le développent des métiers d’art», j’ai rejoint le collectif « Graine d’Ardèche », c’est ainsi que le musée archéologique MuseAl d’Alba la Romaine a sélectionné certaines de mes mosaïques qui sont exposées à la boutique du musée. Mes activités à venir : une expo vente à Paris 11ème, et cet été les marchés de créateurs à Désaignes, Lamastre…
Isabelle Marlier”
Chasse aux oeufs dans les boutiques de la Grande Rue pendant les vacances de Pâques. Bravo à tous les jeunes visiteurs qui ont participé avec succès.
Concours d’écriture.
Choix difficile pour le jury impressionné par la qualité des textes.
Les gagnantes ex aequo sont :
- Anne-Marie Richon
- Stéphanie Bouchenot
Et un prix d’honneur pour la jeune Azérine Gendre-Auvray,
treize ans et un jour, qui s’est transmis dans l’aventure du concours…
Toutes nos félicitations pour la qualité de ce sonnet !
Voici les trois poèmes :
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Je m’offrirai…
Je m’offrirai
comme une fleur
que l’on cueille
à la rosée
les pétales
tremblants
le coeur
éclaté
et sur ton épaule
– Amoureux –
je poserai
délicatement
mon essence
parfumé…
Anne-Marie Richon
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Une porte ouverte vers l’intérieur Un bouquet de toi tout près du coeur Une porte ouverte vers l’intérieur Ma porte ouverte vers l’intérieur Stéphanie Bouchenot |
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Regarder ses yeux au regard profond,
Comme contempler un autre Univers,
Provoque en moi une étrange émotion,
Main dans la main, je peux quitter la Terre.
Lui seul sait sécher mes larmes fraîches,
Où se mêlent douceur et harmonie,
Pour lui seul, mes peurs sombrent dans l’oubli,
Dans mon torse, je sens une flèche.
Cette nuit, le temps passe trop vite,
Il s’élève entre nous comme un voile,
Ses prunelles rappellent les étoiles.
Quand une mélodie apparaît, il s’enfuit,
Je veux le suivre dans le Paradis !
Mais le jour me surprend seule dans ma vie.
Azerine Gendre-Auvray
Joyeuse année à toutes et tous !
« Après une exposition à la médiathèque Latour-Maubourg à Valence, Agnès Veyre-Serre était l’invitée du kiosque Plénet le samedi 29 janvier de 14h à 18h . Elle nous a fait découvrir son travail et a échangé avec les visiteurs. Plasticienne, elle valorise dans ses créations la matière première indispensable à la fabrication du papier. Elle utilise l’ouate de cellulose ainsi que le chiffon, qu’elle associe à l’encre de Chine. Elle sculpte, pétrit, mouille, écrase, plie, froisse… »
Agnès accompagne également de nombreux projets avec les scolaires.
Ses bustes de lumière avaient déjà émerveillé nombre d’entre nous ; le 18 décembre, Christine Simon, était la deuxième invitée du kiosque Plénet. La dentellière de carton a fait des démonstrations de son travail devant les visiteurs nombreux pour la connaître et découvrir sa dextérité, sa patience et sa créativité. Un grand merci à vous tous pour votre fidélité aux événements du kiosque.
Propos de Christine Simon :
Passionnée par le travail manuel et l’artisanat, je travaille le carton depuis 2009, un peu par défi de recycler un matériau « pauvre » pour le transformer en un matériau « noble ».
J’aime l’idée de donner une nouvelle vie à ce matériau trouvé dans les bennes ou au hasard de mes ballades « citadines », utilisé par tous dans sa fonction d’emballage et de livraison, et destiné à être abandonné au coin d’ une rue ou tout autre poubelle.
J’ai commencé par la fabrication de meubles en carton puis j’ai appris la technique de la dentelle (utilisation des cannelures). J’ai été immédiatement séduite par le rendu qui allie finesse, légèreté et transparence. L’association avec la lumière m’a alors semblé une évidence. Aujourd’hui en reconversion professionnelle, je crée des luminaires qui produisent des effets poétiques sur les murs et les plafonds par les ombres qu’ils projettent.
Le carton se prête à de multiples formes mêmes complexes, et apporte une palette infinie de motifs et d’effets, renouvelables à l’infini…. Il reste encore tout un monde à explorer.
Un grand merci à Martic, qui nous a fait le plaisir de sa visite pour cette rencontre/exposition. Le travail de cet artiste plasticien qui dompte le métal constitue une source d’inspiration pour Christine Simon ; les bustes réalisés par la créatrice créatrice d’un dialogue passionné avec le travail de Martic.
Camille et Gaëtan, deux anciens élèves qui ont pu découvrir le travail de Christine. Merci pour votre visite !
SAMEDI 20 NOVEMBRE :
Charline Balaskovic, céramiste d’art , était présente au kiosque de 10h à 18h30 pour nous présenter ses dernières créations (à côté de La Douce, La Robe blanche, La frileuse.. que vous avez pu admirer dans la boutique). Elle nous a fait découvrir les techniques qu’elle utilise, mais également les démarches qui sont les siennes dans le processus de création.
Merci à Pauline et Samantha (deux anciennes élèves) pour leur visite !
MARDI 12 OCTOBRE : OUVERTURE DU KIOSQUE PLÉNET
Accueil des premiers clients, Monsieur et Madame Guillaume, devenus depuis des visiteurs réguliers dont la bonne humeur nous enchante !
Je souhaite recevoir par mail les informations concernant l’actualité de la boutique Le kiosque Plénet (expositions, invitations de créateurs, promotions…) :
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